Pour vous souhaiter une belle année 2021, Artistik Bazaar vous offre chaque jour une dose d'inspiration pour l'entreprise.
Retrouvez ici les vidéos, au fur et à mesure de leur publication sur LinkedIn.
J1 - L'art du rebond avec Yoann Bourgeois
J3 - Penser la technologie avec Bodyfail
J5 - Le pouvoir du jeu en entreprise avec Filipe Vilas Boas
J7 - L'innovation avec Olivier Masmonteil
J9 - Les Emotions avec Jonathan Harris
J11 - Le désir du bureau avec Anne-Flore Cabanis
J13 - Le big data avec Anna Ridler
J15 - Le leadership
J18 - L'inclusion avec Julie Lagier
J20 - La contrainte avec Tim Zdey
J2 - Le pouvoir de la collaboration avec Olga Kisseleva
J4 - L'art du pitch avec Tasuya Tanaka
J6 - Libérer la parole avec Clémence Vazard
J8 - La créativité avec Kensuke Koike
J10 - L'empowerment au féminin avec Delphine Diallo
La santé mentale avec Elliana Esquivel
J14 - L'engagement avec Saype
J16 - La communication non violente avec Marina Abramovic
J19 - Agir en environnement hostile avec Artemisia Gentileschi par Margaux Brugvin
J21 - Se retrouver avec Willian Cobbing
Chez Artistik Bazaar, nous aimons faire appel aux artistes pour observer le monde à leur manière. Ils nous permettent de mieux le voir, de le comprendre, de le questionner, de nous en émouvoir. Comme des coachs, ils nous permettent d'avancer, de voir les choses sous un nouvel angle, de développer nos softs skills toujours plus précieuses (adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle...), de développer une approche innovante, de donner du sens à ce que l’on vit et d’impulser l’action.
Chaque semaine, nous vous partageons les démarches artistiques et les oeuvres qui éclairent le moment que nous vivons. Cette semaine : le pouvoir du jeu
Lundi 21 septembre, Artistik Bazaar lance, avec l’artiste Isabelle Daëron, Milton, le jeu des sociétés qui réduisent leur impact carbone. Cette collaboration est née d’une envie partagée de s’engager avec les entreprises et surtout avec leurs collaborateurs dans une démarche éclairée et active de réduction de notre empreinte carbone. L’envie de faire de l’entreprise un endroit d’alignement entre nos actions individuelles et le nécessaire engagement collectif. Cette collaboration a vite pris la forme d’un jeu, conçu et dessiné par Isabelle Daëron.
Pourquoi le jeu nous a-t-il semblé le bon véhicule pour ce projet artistique engagé ?
Depuis notre plus tendre enfance, le jeu est un espace d’expérimentation, de créativité, de liberté, et d’apprentissage. Dans un cadre fictif, dont les enjeux sont déconnectés de notre réalité, chacun peut se transformer en seigneur de guerre, en magnat de l’immobilier, en loup-garou, en reine noire ou blanche, en détective, ou encore en menteur. A partir de règles établies qui viennent rebattre les logiques de nos interactions sociales, “je” peut être un autre et donc enrichir le regard qu’il porte sur sa réalité. En fonction de ces mêmes règles, le but du jeu devient, le temps d’une partie, comme un projet de société. Et le gagnant est invité à interroger la notion de succès à travers son gain.
L’économiste Ariel Rubinstein livre cette analyse sur la théorie des jeux et son application dans la vie réelle : "À mes yeux, la théorie des jeux est une collection de fables et de proverbes […]. Une bonne fable nous rend capable de regarder une situation de la vie à partir d’un nouvel angle de vue ; elle pourrait ainsi influer sur notre pensée et notre action ”. Les entreprises l'ont d'ailleurs bien compris, intégrant le jeu dans le traditionnel team building pour booster la collaboration ou gamifiant les parcours clients pour transformer les ventes.
Comme Isabelle Daëron avec Milton et l’impact carbone, de nombreux artistes intègrent le jeu dans leur démarche pour engager le spectateur et le rendre actif, que cela soit pour éclairer un sujet de société ou nourrir une réflexion philosophique. Alors, jouons avec Vladimir Abikh et la compagnie 359°.
Chez Artistik Bazaar, nous aimons faire appel aux artistes pour observer le monde à leur manière. Ils nous permettent de mieux le voir, de le comprendre, de le questionner, de nous en émouvoir. Comme des coachs, ils nous permettent d'avancer, de voir les choses sous un nouvel angle, de développer nos softs skills toujours plus précieuses (adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle...), de développer une approche innovante, de donner du sens à ce que l’on vit et d’impulser l’action.
Chaque semaine, nous vous partageons les démarches artistiques et les oeuvres qui éclairent le moment que nous vivons. Cette semaine, la prise de risque.
Alors que l'incertitude est la variable grandissante de nos quotidiens, quel autre possibilité il y a-t-il que de prendre des risques ? Risque individuels d'embrasser nos proches, risques de l'entrepreneur de prendre la mauvaise décision, risque d'essayer et d'échouer. L'heure de l'urgence environnementale vient aussi démontrer que le risque le plus important est celui de l'inaction. Alors continuons de prendre de risques, pour mieux découvrir qui nous sommes et inventer d'autres modèles.
Philippe Ramette est un plasticien français. Ses sculptures et ses photos sont autant d'occasions pour le spectateur de se mettre en danger. Changer de point de vue, défier la gravité, plonger dans un nouvel environnement... "Sans montages et sans retouches, seulement à l'aide de la sculpture, il se met en scène dans des situations improbables et absurdes. Il invite à l'imagination, à la projection d'une autre possibilité, pour proposer des oeuvres oniriques et humoristiques à la fois." (source Artsper).
Circassien, acrobate, chorégraphe, Yoann Bourgeois est une figure française du nouveau cirque. Sur le plateau, il recherche sans relâche le point de suspension. Celui où l'on n'est pas encore tombé, où le champs des possibles est encore ouvert, puis celui où l'on touche le sol ou le trampoline, et où la manière dont on rebondira déterminera la suite de l'histoire. Comme si le risque n'était pas celui de tomber mais de savoir rebondir.
Chez Artistik Bazaar, nous aimons faire appel aux artistes pour observer le monde à leur manière. Ils nous permettent de mieux le voir, de le comprendre, de le questionner, de nous en émouvoir. Comme des coachs, ils nous permettent d'avancer, de voir les choses sous un nouvel angle, de développer nos softs skills toujours plus précieuses (adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle...), de développer une approche innovante, de donner du sens à ce que l’on vit et d’impulser l’action.
Chaque semaine, nous vous partageons les démarches artistiques et les oeuvres qui éclairent le moment que nous vivons. Cette semaine, nous nous associons à Digital for the planet pour mettre en lumière les enjeux de la pollution numérique avec les artistes Von Wong, Filipe Vilas Boas, Federico Clapis et Eduardo Relejo
Que l’on soit déjà sensibilisé ou non à ces sujets, au-delà des informations dont on peut avoir connaissance, les artistes s’adressent à nos émotions, accélèrent les prises de conscience et incitent à l’action.
Inès Leonarduzzi, fondatrice de Digital for the planet, partage avec nous 4 grands sujets de la pollution numérique au sens large : tant sur le plan environnemental, qu’intellectuel ou societal.
L’enjeu de la fabrication des appareils électroniques
Elle alerte : "La fabrication des appareils électroniques et la gestion de leur recyclage représente 70% de la pollution numérique environnementale".
L’artiste Von Wong a fait de la question de l’impact écologique l’engagement central de ses oeuvres. Son procédé : il collecte de grandes quantité de matériaux mis au rebut (plastique, vêtements, …) et les assemble en installations impressionnantes, dont il tire des clichés léchés, avant de les recycler. En partenariat avec le programme de recyclage de Dell, il transformé près de 2 tonnes de déchets informatiques en trois sculptures. 10 jours d’installation plus tard, voici le résultat :
Chez Artistik Bazaar, nous aimons faire appel aux artistes pour observer le monde à leur manière. Ils nous permettent de mieux le voir, de le comprendre, de le questionner, de nous en émouvoir. Comme des coachs, ils nous permettent d'avancer, de voir les choses sous un nouvel angle, de développer nos softs skills toujours plus précieuses (adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle...), de développer une approche innovante, de donner du sens à ce que l’on vit et d’impulser l’action.
Chaque semaine, nous vous partageons les démarches artistiques et les oeuvres qui éclairent le moment que nous vivons. Cette semaine, la deep tech.
La BPI décrit la deep tech comme l'usage d'innovations de rupture pour proposer des produits ou des services, avec souvent pour ambition de résoudre un problème ou de révolutionner un secteur. Ces technologies émergentes se développent dans différents secteurs (intelligence artificielle, blockchain, biologie, chimie et sciences du matériau, robotique dont les drones, électronique, photonique, etc) et ont deux points communs :
- elles nécessitent une longue phase de R&D
- elles peuvent remettre profondément en cause nos modes de vies et induisent généralement un questionnement éthique, un choix de société.
A ces deux niveaux, l'approche des artistes est précieuse.
Par leur capacité d'exploration et de créativité, les artistes permettent d'aborder une technologie de rupture en cassant les schémas de la recherche et du développement de produit.
En posant un regard singulier sur les potentialités de ces ruptures technologiques, ils les rendent compréhensibles au plus grand monde tout en incitant le spectateur à se positionner par rapport à un scenario souhaitable ou non. Comme le disait Christian Nibourel alors DG France d'Accenture avant de récompenser les premiers lauréats du prix art & tech Pulsar : "Avant on expliquait la techno avec des slides. Maintenant c'est devenu trop complexe, il faut vivre une expérience."
En jouant avec les dernières avancées dans le domaine de réalité virtuelle, de la réalité augmentée et du deep learning (ANN), Natalia Alfutova questionne sans cesse ce qui fait notre humanité. Est-elle transférable dans une réalité virtuelle ? Qu'est-ce qu'un double digital aurait à nous apprendre ? A quel point l'hybridation de nos vies est-elle souhaitable ? Est-ce que la peur du virtuel serait aussi le signe d'une difficulté à faire face à nos monstres intérieurs ? Prendre part aux expériences qu'elle propose, c'est se plonger dans une nouvelle dimension qui met en lumière, sans jugement de valeurs, les choix qui s'offrent à nous : quelles réalités choisir ?
Avec Rabbit Heart, chaque visiteur est invité à créer son avatar. Construit à partir du scan 3D de son visage et des informations qu'il partage sur les réseaux sociaux, le lapin prend ensuite vie dans un espace virtuel dans lequel il va interagir avec les autres avatars, guidés dans ses choix et ses attitudes par les données collectées en ligne. Un chat bot permet aussi de communiquer avec lui pour prendre des nouvelles - de soi même.
Avec Faced2Faced, Natalia mobilise les avancées de la réalité augmentée pour nous confronter à nous-même.
En téléchargeant l'application, le spectateur se retrouve face à face avec son double numérique. À l'aide des technologies de réalité augmentée et du machine learning, le jumeau est projeté sur la paume de son créateur et communique avec lui, le mettant face à lui-même.
Le Oneroid est une créature robotique tout droit sortie des films cyber-punk. Son oeil unique est contrôlé par réseau neuronal artificiel. En pénétrant dans ce labo désaffecté et inquiétant sur les pas d'une mystérieuse scientifique, en observant la relation qui la lie au robot, le spectateur est invité à questionner la relation d'attachement ou de rejet qu'il cultive avec ses propres monstres intérieurs, digitaux ou non.
Oeuvre à découvrir dans le cadre de la foire d'art contemporain Cadaf.
Oeuvre lauréate de l'édition 2017 de Pulsar, BodyFail est un dispositif interactif qui teste les limites des technologies de surveillance en même temps qu'il les démontre. En rendant visible les bugs des algorithms de reconnaissance des mouvements, l'oeuvre permet au spectateur de les faire dérailler en faisant des gestes inattendus.
Chez Artistik Bazaar, nous aimons faire appel aux artistes pour observer le monde à leur manière. Ils nous permettent de mieux le voir, de le comprendre, de le questionner, de nous en émouvoir. Comme des coachs, ils nous permettent d'avancer, de voir les choses sous un nouvel angle, de développer nos softs skills toujours plus précieuses (adaptabilité, créativité, intelligence émotionnelle...), de développer une approche innovante, de donner du sens à ce que l’on vit et d’impulser l’action.
Chaque semaine, nous vous partageons les démarches artistiques et les oeuvres qui éclairent le moment que nous vivons. Cette semaine, pour célébrer la semaine de la QVT (Qualité de vie au travail pour les intimes), nous nous sommes lancées le challenge de faire correspondre une démarche artistique à - presque - chaque catégorie de la roue de la QVT proposée par le cabinet JLO.
Chaque association est à envisager comme une piste à creuser, une idée à décliner en rencontre inspirante, atelier ou collaboration, pour construire ensemble un environnement professionnel plus juste et respectueux de chacun.
Conduite de projets architecturaux
Le design d'espaces qui racontent des histoires par de Marie Durand Yamamoto de mono・hito・koto
Promotion de la diversité et de l’égalité des chances
Les jeux de Tatiana Vilela Dos Santos qui permettent de manière très simple de créer par le jeu des réalités biaisées : binaires, égalitaires, ou non. Ici le jeu Magnêsiă.
Accompagnement individuel, coaching.
Cela fait un certain temps qu'on rêve, chez Artistik Bazaar, de coaching artistique. Une oeuvre ou un expérience pour répondre aux maux de l'entreprise. On a trouvé des alliés au Théâtre de la Ville qui ont lancé pendant le confinement des consultations poétiques.
Recrutement et maintien dans l’emploi des seniors
Les portraits de JR qui subliment les rides, l'intelligence et l'expérience qui pétillent dans les regards.
Développement du dialogue social
Hélène Maréchaux & Pauline Bartissol, violoniste et violoncelliste, proposent à travers leurs concerts et ateliers de développer notre écoute pour mieux comprendre comment interagir ensemble.
Management responsable.
S'inspirer de figures bien connues de l'histoire de l'art pour se plonger dans leurs modes de leadership et cultiver le sien afin d'être un leader à la hauteur de toutes les situations : c'est l'atelier que nous avons développé avec Beaux Arts Institute.
Prévention du stress
Avec ses journées du plaisir, Camille Bondon propose de célébrer les petits - et grands - plaisirs, à afficher au bureau ou recevoir par sms, pour stimuler la dopamine et réduire le stress avec une vision résolument positive de la vie.
Accompagnement au changement
Passion Passion est un collectif réuni par la danseuse Alice Martins. Ses membres sont designers, architectes, réalisateurs... Et deviennent danseurs le temps d'un spectacle, faisant du changement de posture une performance.
Egalité pro F/H avec le travail
Le collectif Roberte Larousse
travaille sur le genre et la langue française. Avec En française dans le texte, elles traduisent au féminin notre réalité.
Préparation au retour à l'emploi.
Filipe Vilas-Boas et le collectif How House travaille sur la réalité virtuelle comme outil de soin, à l'hôpital et en prison, notamment pour accompagner le retour à la maison après une hospitalisation. Des applications à développer aussi pour le retour à l'emploi ?
Communication responsable
Avec Spell, distributeur de mots, Cécile Babiole épelle des mots lettre par lettre et nous force à réapprendre à lire, comme pour peser chaque lettre des mots reçus et partagés.
Organisation du travail
Olivier Masmonteil est peintre. En partageant la vie à l'atelier avec son équipe, il questionne l'organisation du travail, la place laissé à la créativité et à l'épanouissement de chacun.
Equilibre vie pro / vie privée
Mis à mal par les écrans et notre consommation numérique, ce fragile équilibre est révélé dans avec poésie et dans toute son absurdité par Venissia Kay.